Suites aux manifestations pré-électorales, la Ligue ivoirienne des droits de l’homme (LIDHO) « se réserve le droit de se constituer partie civile afin de traduire devant les juridictions nationales et internationales tous les auteurs d’atteintes et violations des droits de l’homme en cette période sensible », annonce son président, NETH Willy Alexandre, dans une déclaration..Dans cette déclaration dont copie nous est parvenue jeudi, la plus vieille des organisations des droits humains en Côte d’Ivoire observe que depuis la proclamation officielle de la liste définitive des candidats retenus pour l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, des manifestations ont lieu dans diverses localités suite à l’appel à la désobéissance civile lancé par la plateforme des partis politiques d’opposition et de certains candidats non retenus par le Conseil Constitutionnel. Selon la Lidho, ces manifestations et les contre-manifestations qui ont suivi, ont dégénéré en des violences intercommunautaires qui ont occasionné de nombreuses atteintes et violations des droits de l’homme, y compris
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Communiqué de presse relative aux opérations de déguerpissements et démolitions dans le District Autonome d’Abidjan
Ligue Ivoirienne des Droits de l’Homme (LIDHO) Abidjan – 28 février 2024 : Une opération de destruction et de déguerpissement au mépris de toute dignité